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    La Cryptozoologie(Des tigres à dents de sabre survivants de l'ère glacière ?

    Ademth
    Ademth


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    La Cryptozoologie(Des tigres à dents de sabre survivants de l'ère glacière ? Empty La Cryptozoologie(Des tigres à dents de sabre survivants de l'ère glacière ?

    Message  Ademth Mer 31 Oct - 10:34

    Bonjour,je vous propose un lien et une information.
    jetez un oeil ici.
    http://www.cryptozoology.net/sabretoothtiger/french.html

    Infos ici

    En République
    Centrafricaine, où j'ai travaillé comme guide de chasse
    professionnel pendant douze ans, les indigènes du pays Youlou
    parlent d'un fauve à dents en sabre qu'ils appellent
    Koq-Nindji en langue vernaculaire et "tigre des montagnes" en
    français.

    Parmi les animaux légendaires, le "tigre des montagnes" a
    une place privilégiée, car son histoire est commune
    à des peuplades et des races très différentes,
    n'ayant jamais eu de contacts entres elles, comme par exemple les
    Toubous nomades de l'Ennedi et du Tibesti et les Youlous du
    Centrafrique. Cette légende a également une aire
    géographique nord-sud typiquement montagneuse, qui
    s'étend pratiquement du tropique du Capricorne (Tibesti)
    jusqu'au sud de l'équateur en passant par le Bahr-el-Gazal et
    le Mont Kénia. Cette aire suit une dorsale formée par
    les hauts plateaux sahariens d'Erdébé, la
    dépression et les monts du Mourdi, du Darfour, les monts du Bahr-el-Ghazal, pour arriver enfin à travers les montagnes
    d'Ouganda jusqu'au mont Kenya, donc une continuité de
    biotope et ce sur plusieurs milliers de kilomètres.


    La description la plus précise de cet animal est
    donnée par la tribu des "Youlous" au nord-est de la R.C.A.,
    dont certains vieux chasseurs prétendent en avoir vu dans leur
    jeunesse. Cette ethnie soudano-guinéenne est très
    ancienne, on la rencontre dans la région de Ouanda-Djalé où j'ai exercé pendant plusieurs
    années mon métier de guide de chasse pour la
    société SAFOV.


    Les Youlous sont persuadés qu'il existe encore des "tigres
    des montagnes" dans leur région, ils le décrivent comme
    un fauve un peu plus gros qu'un lion, avec un pelage rouge
    marqué de taches ou de rayures claires. Sa queue est courte,
    le poil du dessus des pattes est long et épais , il
    empêche le repérage des traces sur le sol. Mais la
    caractéristique principale de cet animal, qui le
    différencie du lion serait d'avoir des canines qui
    dépassent de la gueule !

    Cette description ressemble beaucoup à celles des
    Machairodus ou des Smilodon dont les crânes
    fossiles ont été découverts. Ces animaux ont vécu à l'aire quaternaire, donc auraient
    été contemporains des premiers hommes (figure 1).


    La Cryptozoologie(Des tigres à dents de sabre survivants de l'ère glacière ? TIGRESAB
    Figure 1 : des pithécanthropes aux prises avec des
    félins à dents en sabre
    (photo Time Life).

    suite infos


    Les Youlous sont d'excellents pisteurs de chasse au grands fauves,
    ils ont une grande acuité visuelle, ainsi qu'un sens
    extraordinaire de l'observation, pour tout ce qui concerne la vie
    sauvage de la brousse ; ils ne peuvent donc pas confondre deux types
    de fauves, même s'ils ont des caractéristiques voisines.
    La description du "tigre des montagnes" est bien celle d'un
    félin à dents en sabre, or les Youlous qui m'ont
    décrit ce fauve sont tous des gens pratiquement
    illettrés, et donc n'ayant jamais eu l'occasion d'approcher de
    près un manuel de paléontologie quelconque. Ils
    précisent d'ailleurs que ce fauve, contrairement au lion, peut
    être de couleur noire, ce qui exclue toute confusion avec les
    lions et les léopards où l'on n'a jamais relevé
    de cas de mélanisme chez ce type de carnivore dans la
    région.


    J'ai effectué une expérience avec mes pisteurs
    Youlous, en leur présentant des dessins en couleurs,
    reproduisant les différentes espèces de fauves actuels
    vivant sur les quatre continents : tigre, ocelot, guépard ,
    panthère des neiges, léopard, puma, etc., au milieu
    desquels j'avais placé une représentation d'un tigre
    à dents en sabre préhistorique. Sans aucune
    hésitation, les Youlous me désignèrent le
    Smilodon comme étant "leur" "tigre des montagnes".
    Pour me convaincre, ils me conduisirent à une grotte formant
    abri sous roche où d'après eux il y aurait eu un "tigre
    des montagnes" une trentaine d'année auparavant (nous
    étions en 1970). Mon premier pisteur Djémé
    m'affirma l'avoir aperçu avec son père au cours d'une
    partie de chasse dans ces collines de Méllé. Son
    père et lui avaient réussi à tuer une antilope
    cheval (300 Kg) et au moment de la dépecer, un "tigre des
    montagnes" était sorti de la brousse pour se saisir du
    trophée et l'avait emporté sans effort apparent, devant
    les deux chasseurs terrifiés et médusés qui
    n'avaient pas demandé leur reste et étaient
    rentrés bredouilles au village.


    Le tigre des montagnes est, comme je l'ai dit, appelé
    Koq-Nindji par les Youlous, par les Toubous du Tchad
    Biscoro par les Adjeray du Nord-Est du Tchad, etc.


    Il semblerait qu'une forme de ce fauve vive en milieu aquatique,
    dans les rivières importantes du pays, sous le nom de "lion
    d'eau" ou "panthère d'eau" en langue Sango
    Ndzé-ti-ngou, j'ai recueilli des témoignage sur
    cette espèce dans la région du Bamingui-Bangoran dans
    le nord de la R.C.A. La femme d'un de mes pisteurs de cette
    région m'a dit que dans les années 50 un "lion d'eau"
    se trouva pris dans une nasse à poissons (elles peuvent
    atteindre un diamètre de plus d'un mètre) de la
    rivière Bangoran entre les villages de Kaga Bandoro et des
    Mbrés ; les villageois le tuèrent et le crâne
    aurait été récupéré par le chef de
    village. M'étant rendu dans ce village, j'interrogeai le chef,
    qui refusa de me donner des renseignements prétextant que la
    femme s'était trompée, et cela malgré la forte
    somme que je lui proposais pour voir le crâne. Cette
    réaction est normale, les indigènes de ces
    régions reculées ont tous le souci de garder
    sécrètes certaines informations, car, disent-ils, "ce
    sont leur derniers secrets, les Blancs connaissent tout et nous ont
    tout pris : si nous leur révélons nos derniers secrets,
    il ne nous restera plus rien".


    Dans la rivière Bamingui nous avons un témoignage
    visuel et écrit d'un Européen qui date de la
    colonisation, en 1910 , une colonne dirigée par un officier et
    un sous-officier français escorté par des tirailleurs
    sénégalais, remontaient vers le Tchad pour aller
    châtier le rebelle tchadien Rabba qui venait de massacrer
    l'administrateur Bretonet à Niellim au Nord de
    Fort-Archambault.
    Pour traverser le Bamingui, il était nécessaire de le
    faire sur des pirogues pouvant contenir une dizaine de personnes,
    soit au minimum 700 kg. Sous les yeux de l'officier qui surveillait
    la traversée, un "lion d'eau" attaqua une des pirogues en
    train de traverser, et se saisit d'un tirailleur qu'il emporta.
    L'officier fit un rapport sur l'incident qui figure encore dans les
    archives militaires.


    Les "lions d'eau" sont réputés pour vivre dans des
    cavernes rocheuses situées dans les berges des fleuves de
    cette région. Leurs yeux brillent dans la nuit comme des
    escarboucles, et leur feulement ressemble au bruit du vent juste
    avant un orage ou une tornade.
    Comment ces fauves se nourrissent-ils ? Les Africains disent qu'ils
    sont surtout nocturnes et certains témoignages donnent
    à penser qu'ils pourraient peut-être survivre dans
    certaines régions isolées et marécageuses.
    Un ami, Marcel Halley, un chasseur du Gabon dans les années
    1920, a été le témoin d'un fait étrange :
    chassant dans un vaste marais, son attention fut attirée par
    des râles venant des roseaux ; il s'approcha et
    découvrit une femelle hippopotame massacrée par un
    fauve inconnu. Celle-ci portait des plaies béantes qui
    n'avaient pas pu être faites par un autre hippo, car il n'y a
    que les mâles qui se battent entre eux, et leurs blessures sont
    caractéristiques. Il acheva l'animal et prit des photos que je
    possède. L'animal a plusieurs grosses plaies longues et
    profondes qui ne peuvent pas avoir été faites par les
    petites défenses courtes et rondes d'un hippo, la bête
    porte aussi sous le cou un énorme trou et un autre sur
    l'épaule.
    Personnellement, j'ai été le témoin de la
    même aventure. En 1970 en face de Fort-Lamy (actuellement Shar)
    le service des Eaux et Forêts, Pêches et Chasses me
    demanda d'abattre un hippopotame devenu agressif. Il attaquait les
    pirogues qui transportaient les gens entre le Tchad et la berge
    Camerounaise de Fort-Foureau (Kousseri). J'abattis l'animal et
    m'aperçus qu'il était couvert de plaies qui
    étaient situées au mêmes endroits que l'hippo de
    Marcel Halley et surtout des plaies de la même taille, de la
    même forme, donc faites sans doute par le même type de
    prédateur. Ces plaies étaient de profondes entailles
    comme si elle avaient été pratiquées avec un
    objet tranchant telle qu'une lame de sabre. Une autre plaie sous le
    cou et à l'épaule était de la forme d'un trou
    où j'aurais pu enfoncer mon avant bras. Aucune infection, les
    plaies étaient récentes, j'ai moi aussi des photos de
    cet animal mais je n'ai pas fait attention au sexe, d'après la
    taille il doit s'agir soit d'une femelle, soit d'une bête
    immature.
    Est-ce un "lion d'eau" à dents en sabre qui a tué ces
    deux animaux distants l'un de l'autre de plusieurs milliers de
    kilomètres ?
    Que croire ? Une réminiscence des temps anciens dans la
    mémoire collective des Youlous ? Les spécialistes
    prétendent que la mémoire ne transmet les souvenirs
    oraux que sur une période de quatre-cents ans maximum ! Les
    Youlous auraient-ils donc vraiment cohabité avec les derniers
    représentants d'une faune résiduelle ? Même cela
    bouleverserait les théories généralement
    admises, selon lesquelles ces fauves à dents en sabre auraient
    disparu en Afrique il y a environ 500 000 ans.


    Malheureusement jusqu'à ce jour aucune de ces fameuses
    canines spectaculaires n'a été retrouvée chez
    les Youlous, ou alors elles sont cachées et ne sont jamais
    montrées aux étrangers, ou encore ont-elles
    été employées a faire des talismans puissants et
    elles dorment peut être encore dans des étuis de cuir
    eux aussi hors de la vue des non initiés ? On a peut
    être mis le doigt sur une paire de ces canines : dans un lot de
    petites défenses d'éléphants provenant du Kenya, on découvrit deux petites défenses d'une
    texture différente de l'ivoire, jusqu'à ce jour les
    zoologues n'ont pas pu déterminer à quel animal elles
    appartenaient.


    La présence pas très lointaine d'un tel animal n'est
    pas impossible, car dans les montagnes où vivent les Youlous,
    il y a des plantes spéciales que l'on ne trouve nulle part
    ailleurs dans le monde. Elles sont bien plus anciennes que les fauves
    à dents de sabre, puisqu'elles étaient
    déjà là à l'aire secondaire : ce sont les
    cycas et surtout les Encephalartos, ce qui tendrait à prouver
    que cette zone à toujours subi un climat à peu
    près identique, dont les variations extrêmes n'ont pas
    trop influencé le milieu. Cette continuité a sans doute
    permis à la flore et donc peut être aussi à la
    faune de se maintenir dans l'état originel jusqu'à
    nous


    Quoi qu'il en soit la légende reste vivace, dans la
    mémoire des Youlous de RCA et aussi chez les Toubous et les
    Zagawa du Borkou du Nord Tchad. Peut être existe -il encore des
    indices sous forme de griffes, dents, morceaux de peau
    transformés en gris-gris, dont les porteurs ne connaissent
    plus l'origine, ni la valeur scientifique.
    Alors chacun peuvent s'exprimer,donner avis/opinions.
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    Message  Ademth Mer 31 Oct - 10:41

    je propose des photos.

    voici des photos de lions/lionne et lionceau.


    La Cryptozoologie(Des tigres à dents de sabre survivants de l'ère glacière ? 1735l-lion-panthera-leo


    La Cryptozoologie(Des tigres à dents de sabre survivants de l'ère glacière ? Lion-lionnela lionne et le lion dominant.

    maintenant des photos de léopard
    La Cryptozoologie(Des tigres à dents de sabre survivants de l'ère glacière ? Voy_opi_Animal%2001%20Leopard
    La Cryptozoologie(Des tigres à dents de sabre survivants de l'ère glacière ? BB
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    La Cryptozoologie(Des tigres à dents de sabre survivants de l'ère glacière ? Empty Re: La Cryptozoologie(Des tigres à dents de sabre survivants de l'ère glacière ?

    Message  Semth Mer 31 Oct - 11:03

    le tigre à dents à de sabre peut être noire,ce qui prouve qu'on ne peux pas confondre avec les animaux cités.merci pour les photos.

    De penser qu'ils puissent avoir encore quelques spécimens de smilodon survivants de l'ère glacière,est probable.s'agit-il d'une espèce en voix de disparition où un version évolué du tigre à dents de sabre.

    et le cas,du lion tacheté ?tu en as entendu parlé.

    j'ai des amis,qu'on entendu parler des hippo attaqué par des fauves inconnu.

    en aussi une version du tigre à dents de sabre sud-américain.autre infos ici.


    Des rumeurs persistantes font
    état d'une sorte de félin à dents en sabre en
    Amérique du sud.

    La Cryptozoologie(Des tigres à dents de sabre survivants de l'ère glacière ? Guyane%26paraguay
    indice matériel

    - traces d'agression : en 1962, un garçon de sept ans,
    Eustache Fulgence, disparut dans le Maroni près de Maripasoula. Son corps fut retrouvé
    peu après, terriblement
    mutilé (nez et bouche dévorés, éviscéré, bras arraché, etc.). Les Noirs Bonis attribuèrent ce méfait
    au popoké, décrit comme semblable au lamantin,
    mais affublé d'une crinière (Ricatte 1978) : en réalité, le
    lamantin est un mammifère aquatique herbivore totalement inoffensif, et on
    reconnaît dans la représentation du popoké l'image traditionnelle du
    mythe de la sirène. On peut écarter les
    piranhas comme auteurs possibles de ce carnage, car ils sont incapables de
    sectionner un bras.

    Les témoignages décrivent un grand félin au
    corps généralement rapporté comme rayé,
    pourvu de canines supérieures démesurées dépassant de la
    gueule, et de moeurs souvent aquatiques. De
    tels rapports sur des félins à dents en sabre en
    Amérique Latine pourraient s'expliquer par la survivance
    actuelle du Smilodon (figure 1). Ce dernier est supposé
    éteint depuis très peu de temps, à
    l'échelle géologique : les spécimens
    conservés dans le bitume des puits de Rancho La Brea, en
    Californie, datent seulement d'une dizaine de milliers
    d'années.


    La Cryptozoologie(Des tigres à dents de sabre survivants de l'ère glacière ? Smilodon
    Figure 1 : reconstitution d'un Smilodon.


    En ce qui concerne les moeurs aquatiques des félins
    à dents en sabre, Bernard
    Heuvelmans
    (1978) a émis cette hypothèse pour les
    divers "lions d'eau" signalés en Afrique, et qui
    évoquent les machairodontes de la préhistoire. Se
    basant notamment sur l'éthologie du morse (Odobenus),
    qui possède des canines supérieures en sabre (de
    véritables défenses), il a montré que de telles
    dents seraient utilisées au mieux en milieu aquatique. Le
    raisonnement reste valable pour l'Amérique du Sud.
    5) Hypothèses alternatives


    - Bernard Heuvelmans
    estime que les rapports sur des félins à dents en sabre
    en Amérique du Sud se rapportent plutôt au
    Thylacosmilus, un marsupial fossile à dents en sabre,
    plus grand que le Smilodon, mais considéré comme
    éteint depuis plusieurs millions d'années.
    avatar
    Siscotte Lombax


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    La Cryptozoologie(Des tigres à dents de sabre survivants de l'ère glacière ? Empty Re: La Cryptozoologie(Des tigres à dents de sabre survivants de l'ère glacière ?

    Message  Siscotte Lombax Mer 31 Oct - 11:08

    Merci pour les informations et les photos.

    Le lion tacheté du Kenya


    Depuis le début du
    vingtième siècle, on signale en Afrique de l'est, et
    spécialement dans les forêts autour du Mont Kenya, des
    lions tachetés, alors que le lion adulte a une robe de couleur
    fauve unie.

    La Cryptozoologie(Des tigres à dents de sabre survivants de l'ère glacière ? Afrique_e
    La Cryptozoologie(Des tigres à dents de sabre survivants de l'ère glacière ? Deltad
    La Cryptozoologie(Des tigres à dents de sabre survivants de l'ère glacière ? Kenya


    1) Quelques témoignages


    - Au printemps 1923, G. Hamilton-Snowball traversait les
    Aberdares (Kenya), à près de 3500 mètres
    d'altitude, lorsqu'il aperçut un couple de félins :


    <blockquote><blockquote>"Je vis ce que je crus
    être d'abord deux léopards très fauves et
    paraissant délavés, à environ 200 yards
    [180 m] de distance.
    "Comme je me tournais vers mon porteur pour prendre ma carabine
    (je ne portais qu'un fusil), j'entendis un nom peu familier
    murmuré avec excitation par tous les boys, qui
    avaient vu les bêtes en même temps que moi.
    "-- Marozi, marozi",
    répétaient-ils. Comme j'enlevais le cran de
    sûreté, d'un même mouvement, les bêtes
    (ou félins) se retournèrent et en deux bonds
    elles disparurent dans la ceinture forestière devant
    laquelle je les avais surprises.
    "[...] je dois ajouter que les empreintes de pattes
    (pugs) étaient celles d'un lion, et non d'un
    léopard, et que les bêtes paraissaient
    tachetées et de couleur fauve." (d'après
    Hamilton-Snowball 1948).</blockquote></blockquote>

    - En 1935, un guide kenyan du nom de Ali décrivit ainsi
    à Kenneth C. Gandar Dower, sa rencontre avec un couple de
    marozis, faite dans les Aberdares, à peine deux
    semaines auparavant :


    <blockquote><blockquote>"Oh, bwana Gandar, ils
    jouaient au soleil, ne faisant rien de plus. Il y avait un
    mâle et une femelle -- pas des
    bébés. Ils étaient plus petits qu'un
    lion et tachetés de partout. [...] Et ils
    avaient des favoris -- pas une vraie crinière -- et ils
    étaient plus légèrement bâtis qu'un
    lion -- davantage comme guépard." (d'après Dower
    1937).</blockquote></blockquote>




    2) Canulars


    Pas de canular à notre connaissance.





    3) Indices matériels


    - En 1931, un couple de lions tachetés fut abattu par un
    fermier du nom de Michael Trent, dans sa ferme des Aberdares,
    à près de 3000 mètres d'altitude : leur peau a
    été conservée (figure 1), et elle montre les
    taches caractéristiques.


    La Cryptozoologie(Des tigres à dents de sabre survivants de l'ère glacière ? Liontache
    Figure 1 : peau de lion tacheté abattu par Michael Trent
    (d'après Dower 1937)

    - des crânes de lion de petite taille ont été
    signalés, notamment par le naturaliste Reginald Innes Pocock
    (Dower 1937).


    - des traces de pas plus petites que celles du lion, et
    attribuées au marozi, ont été
    relevées à plusieurs reprises (Dower 1937,
    Hamilton-Snowball 1948, etc.)





    4) Analyse cryptozoologique


    Les témoignages décrivent un lion de taille un plus
    petite que le lion "classique" (Panthera leo), mais dont la
    robe est couverte de taches caractéristiques (figure 2).
    L'animal est connu des indigènes du Kenya sous le nom de
    marozi, et son habitat d'élection semble être les
    forêts montagneuses du Kenya, alors que le lion est un animal
    de savane. Bernard Heuvelmans
    (1955) a suggéré qu'il s'agissait d'une
    sous-espèce nouvelle du lion, qu'il a proposé de nommer
    Panthera leo maculatus.


    La Cryptozoologie(Des tigres à dents de sabre survivants de l'ère glacière ? Marozi
    Figure 2 : portrait-robot du lion tacheté
    (dessin © William Rebsamen, artiste animalier)




    5) Hypothèses alternatives


    - Bernard Heuvelmans
    (1955) a également envisagé qu'il s'agissait
    peut-être d'hybrides de lion (Panthera leo) et de
    léopard (Panthera pardus). Une telle hybridation,
    qui était inconnue à l'époque, a pu être
    obtenue pour la première fois en novembre 1959, au zoo de
    Nishinomiya au Japon, avec la naissance de deux "léopons",
    issus du croisement d'un léopard et d'une lionne. Toutefois,
    le fait que le lion tacheté soit observé dans une
    région très limitée de l'Afrique orientale est
    nettement en faveur d'un phénomène de spéciation
    (ou de raciation), plutôt que d'une hybridation qui devrait
    apparaître partout où les deux félins cohabitent,
    c'est-à-dire sur la majeure partie du continent africain.


    - On a suggéré aussi qu'il ne s'agissait que de
    lions juvéniles : les lionceaux sont en effet couverts de
    taches, qu'ils perdent en grandissant. Mais outre l'argument
    géographique précédent qui reste valable, le
    couple abattu par Trent est manifestement adulte par la taille, et
    par son comportement sexuel (il s'agissait justement d'un
    couple, mâle et femelle, visiblement en âge de
    procréer).
    Sisco Siscoteaux
    Sisco Siscoteaux


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    La Cryptozoologie(Des tigres à dents de sabre survivants de l'ère glacière ? Empty Re: La Cryptozoologie(Des tigres à dents de sabre survivants de l'ère glacière ?

    Message  Sisco Siscoteaux Mer 31 Oct - 11:13

    Merci de transmettre les informations sur le forum.
    espérons qu'un véritable discution est à venir.
    avatar
    Chocolat Fitegriffe


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    La Cryptozoologie(Des tigres à dents de sabre survivants de l'ère glacière ? Empty Re: La Cryptozoologie(Des tigres à dents de sabre survivants de l'ère glacière ?

    Message  Chocolat Fitegriffe Dim 11 Nov - 12:31

    On se croirait en pleine science-fiction.
    Les fossiles de tigres à dents de sabre remonte il y a 10.000ans.perso,vous savez tous que sur 90%des témoignages ne sont pas fiable,sauf 10%il est évident que les peuplades ayant vécu dans l'Afrique,connaissaient les animaux,c'est logique que les indigènes connaissent la faune et la flore.quant on connait la faune d'un endroit,ils ne risque pas de se tromper.
    j'ai du mal à croire que des Smildons dont des survivants.cela revient à la même histoire,que celle du Yétis.
    Puisque que ce sujet est dédier à la crytozoologie.
    est le brontosaure africain ?.un dinosaure dans la jungle africaine parait improbable !.
    mais seul l'avenir et les recherches donnera raison à cette nouvelle science.

    sur le Yétis

    Le yeti, créature
    légendaire des montagnards sherpas du Népal, a
    été affublé du sobriquet triplement ridicule
    d'abominable Homme-des-Neiges : il n'a rien d'abominable ni même d'effrayant (il est
    même au contraire plutôt timide, le bruit suffisant
    à le mettre en fuite), ce n'est certainement pas un homme, et
    il ne vit pas dans la région des neiges éternelles !




    1) Quelques témoignages




    • Le père du Sherpa Tensing Norkay, vainqueur de l'Everest
      avec Sir Edmund Hillary en 1953, observa durant l'entre-deux guerres un
      yeti sur le Barun glacier, près du Makalu (un des pics
      de plus de 8000 mètres) :


    <blockquote><blockquote>"Il ressemblait à un
    singe de 4 pieds de haut [1,20 m], sauf que ses yeux
    étaient profondément enfoncés et que sa
    tête était pointue au sommet. Sa couleur
    était grisâtre. L'homme comme le singe prirent
    peur. L'homme-des-neiges se retourna, émit un long
    sifflement, et disparut."</blockquote></blockquote>



    • Lors de l'ascension de 1953 qui vit justement la victoire sur
      l'Everest, le général Sir John Hunt recueillit le témoignage du
      prieur du temple de Pangbotchi, qui avait vu un yéti surgi des
      taillis environnants, en plein hiver, quelques années auparavant :


    <blockquote>
    <blockquote>
    "Cette créature, dont la démarche était à la
    fois allongée et légèrement bondissante, se servait tantôt de ses
    quatre pattes, tantôt de celles de derrière seulement ; sa taille
    était d'environ 1 m 40, et sa peau apparaissait couverte de poils
    gris." (d'après Hunt 1953)



    </blockquote>
    </blockquote>




    2) Canulars




    • Les fameux "scalps" de yeti (figures 1 et 2) conservés
      dans des monastères népalais, comme celui de
      Pangbotchi, sont en réalité fabriqués par les
      sherpas à partir de la peau et des poils du garrot d'une
      chèvre sauvage locale, le serow (Capricornis sumatraensis), ainsi que l'a démontré Bernard
      Heuvelmans
      en 1961. Les sherpas s'en servent lors de
      cérémonies pour jouer le rôle du yeti,
      après avoir couvert leur tête avec ce scalp (figure 3).



    La Cryptozoologie(Des tigres à dents de sabre survivants de l'ère glacière ? Scalp
    Figure 1 : "scalp" du monastère de Pangbotchi
    (d'après Ralph Izzard 1955).

    La Cryptozoologie(Des tigres à dents de sabre survivants de l'ère glacière ? Scalp
    Figure 2 : le même "scalp" 40 ans plus tard
    (photo Marie-Thérèse Serres)

    La Cryptozoologie(Des tigres à dents de sabre survivants de l'ère glacière ? Scalp2
    Figure 3 : "scalp" de Pangbotchi porté en couvre-chef
    pour jouer le rôle du yeti (d'après Fürer-Haimendorf 1954)





    • Une prétendue "observation" d'un yeti a
      été publiée par le soi-disant lama tibétain T.
      Lobsang Rampa dans son ouvrage The third eye (Le
      troisième oeil
      ). Il convient de préciser qu'au Tibet,
      l'homme-des-neiges est appelé migö (le mot de
      yeti n'est connu que des Sherpas du nord-est du Népal),
      et surtout le prétendu "lama" en question n'était qu'un
      plombier anglais, qui n'a jamais mis les pieds au Tibet...





    4) Indices matériels




    • Des traces de pas attribuées au yeti ont
      été suivies à plusieurs reprises (Eric Shipton
      1951, abbé Bordet 1955, Daily Mail 1955, McNeely et
      al.
      1972, etc.), parfois sur plusieurs centaines de mètres
      : elles sont typiquement bipèdes, et ne peuvent avoir
      été faites que par un primate inconnu. Chose
      étonnante, ces traces ne révèlent que quatre
      orteils (Ralph Izzard 1955, abbé Bordet 1955, Tom Slick 1957,
      Alastair Cram 1960, Peter Taylor 1964, Akira Namba et Hiroshi
      Matsushita 1974) : soit que le yeti ne possède
      réellement que quatre doigts, ce qui serait une
      donnée capitale pour la primatologie ; soit que les orteils II
      et III soient si proches l'un de l'autre, disposés sur une
      même éminence charnue (comme cela existe aussi parfois
      chez l'homme moderne), que les traces semblent ne montrer que
      quatre doigts.
    • Des excréments ont été découverts
      associés à des pistes de yeti : l'étude
      parasitologique a révélé la présence de
      trois espèces de parasites intestinaux encore inconnues de la
      science, démontrant que leur hôte est lui-même
      inconnu ! (Sanderson 1963)
    • Des poils attribués au yeti obtenus par
      René de Milleville ont été étudiés
      par Michel Tranier, du Muséum
      National d'Histoire Naturelle
      , pourtant très
      réservé quant à la cryptozoologie : il s'agit de
      "poils d'un primate roux proche de l'orang-outan", sans qu'ils
      appartiennent à ce dernier...
    • Une main momifiée, conservée dans le temple de
      Pangbotchi, mais qui se rapporte plus vraisemblablement à l'homme
      sauvage
      du Tibet (migö).





    4) Analyse cryptozoologique


    Le dossier de l'homme-des-neiges himalayen est assez complexe, car
    selon Bernard Heuvelmans, il se base sur trois types bien distincts de primates, dont l'aire de
    répartition se recoupe quelquefois : un être de taille
    modeste, le "petit yéti" (voir son portrait-robot ci-dessous),
    qui est certainement le plus célèbre et vit
    essentiellement au Népal, au Sikkim et dans le nord de l'Inde
    ; un être de très grande taille (plus de deux
    mètres), le "grand yéti", signalé
    principalement en Chine du sud
    (yeren), en Indochine et en
    Indo-Malaisie, qui est sans doute apparenté au
    gigantopithèque ; enfin un homme
    sauvage
    véritable, appartenant sans conteste au genre
    Homo, dont l'aire de répartition est bien plus
    considérable, puisqu'elle couvre une grande partie de l'Asie
    depuis le Caucase jusqu'à l'Indochine, et englobe notamment le
    Pamir, l'Hindu Kush, le Cachemire, l'Altai (Mongolie), le Tibet,
    etc.


    Pour ce qui est du "petit yéti", le portrait-robot que l'on
    peut tracer à partir de la centaine de témoignages de
    première main que l'on possède (venant surtout de
    montagnards himalayens, mais aussi de quelques alpinistes
    occidentaux), est celui d'une créature humanoïde,
    couverte d'une épaisse toison rousse, dont la taille se situe
    entre 1,40 m et 1,70 m (elle est souvent comparée à
    celle d'un garçon de 12 à 14 ans). Les bras sont longs,
    atteignant les genoux lorsque l'animal les tient le long du corps. La
    caractéristique la plus frappante est toutefois sa tête
    pointue (en forme de pain de sucre ou d'obus), qui a
    été popularisée notamment par Hergé dans
    Tintin au Tibet. On la retrouve sur les fameux "scalps"
    à l'effigie du yeti, comme celui du temple de
    Pangbotchi (voir ci-dessus).
    Le yeti se déplace généralement en
    position bipède, mais dès qu'il veut courir (par
    exemple quand on le fait fuir), il se met sur ses quatre pattes. Le
    caractère bipède du yeti est du reste
    attesté par les fameuses pistes qui lui sont
    attribuées, relevées à de nombreuses reprises
    dans l'Himalaya. Les pistes (figure 4) relevées notamment par
    l'abbé Pierre Bordet (1955) sont typiquement bipèdes,
    et ne peuvent en aucun cas être "expliquées" par des
    empreintes de pas de langur (un petit singe quadrupède de
    l'Himalaya), d'ours ou de tout autre mammifère, qu'elles aient
    été ou non modifiées par des
    phénomènes de fusion de la neige : on y voit en effet
    très nettement une alternance régulière pied
    droit - pied gauche, caractéristique d'une marche
    bipède, et ce, sur des centaines de mètres.


    La Cryptozoologie(Des tigres à dents de sabre survivants de l'ère glacière ? Bordet54
    Figure 4 : piste de yeti au Makalu (d'après Bordet
    1955) :
    noter l'alternance régulière pied droit - pied gauche,
    typiquement bipède.

    L'habitat du yeti n'est pas situé dans les neiges,
    contrairement à une croyance répandue entretenue par
    son surnom, mais dans les forêts de rhododendrons des hautes
    vallées de l'Himalaya : c'est toujours en bordure de telles
    forêts qu'il est observé. Leur exploration est des plus
    difficiles, l'homme ne pouvant y progresser que de 100 mètres
    à l'heure ! Elles sont hélas en voie de destruction
    rapide du fait de l'explosion démographique et des besoins en
    bois pour le chauffage domestique.


    Le régime alimentaire du yeti, tel qu'on peut le
    déduire des témoignages, est omnivore : on l'a vu
    dévorer des pikas (sortes de marmottes), des lichens, des
    fruits et des baies, du foie de yack, et même du chocolat et
    des biscuits pris à des alpinistes ! Ce régime omnivore
    est d'ailleurs confirmé par l'étude des
    excréments trouvés le long des pistes de
    yeti.


    Le comportement du yeti évoque
    irrésistiblement celui d'un singe : "la manie de se gratter,
    celle de découvrir largement les dents par mesure
    d'intimidation, un goût pervers de la destruction, ou encore le
    fait de manifester une colère impuissante en bondissant
    rythmiquement sur place tout en arrachant des touffes d'herbes",
    comme l'a souligné Bernard
    Heuvelmans
    .


    Le yeti est donc un singe anthropoïde encore inconnu,
    bipède (comme l'est le gibbon), dont la tête pointue
    trahit une crête osseuse sagittale comme en possède
    notamment le gorille mâle adulte. En 1958, Bernard
    Heuvelmans
    a proposé le nom scientifique de
    Dinanthropoides nivalis pour ce primate inconnu (figure 5), en
    suggérant une parenté avec le gigantopithèque
    (hypothèse qu'il avait avancée dès 1952), un
    singe du pléistocène de Chine du sud, connu par des
    dents et quelques mandibules énormes. Depuis, Bernard
    Heuvelmans
    penche plutôt pour une parenté avec le
    Ramapithecus et le Sivapithecus, deux primates fossiles
    du miocène et du pliocène de l'Inde, auxquels
    l'orang-outan de Sumatra et Bornéo est apparenté ; du
    reste, les témoins eux-mêmes rapprochent le yeti
    de l'orang-outan, lorsqu'on leur montre des photos de divers
    primates. Le yeti serait en fait une sorte d'orang-outan
    terrestre (et non arboricole), à la bipédie
    accentuée par la traversée des pentes enneigées
    lorsqu'il se déplace d'une vallée à l'autre (en
    réduisant ainsi au minimum la surface en contact avec le sol,
    pour atténuer la déperdition calorifique, comme
    l'anthropologue Sydney Britton a pu l'observer chez un
    chimpanzé en captivité).


    La Cryptozoologie(Des tigres à dents de sabre survivants de l'ère glacière ? DINANTHR
    Figure 5 : reconstitution du yeti (Dinanthropoides
    nivalis
    Heuvelmans 1958)
    (d'après Sciences et Avenir, 1958).




    5) Hypothèses alternatives




    • On a souvent prétendu que le yeti n'est qu'un
      ours, soit l'ours brun dont une race, l'ours isabelle (Ursus
      arctos isabellinus
      ), vit au Népal, soit l'ours du Tibet
      (Selenarctos tibetanus). L'ours peut en effet se dresser sur
      ses pattes postérieures, mais certainement pas faire plus de
      quelques pas en position bipède : or, certaines pistes ont
      été suivies sur des centaines de mètres. Quant
      à l'hypothèse que les traces des pattes
      postérieures recouvrent celles des pattes antérieures,
      elle est tout simplement invraisemblable : cela peut se produire
      à l'occasion, mais sûrement pas sur des centaines de
      mètres ! L'absence de griffes sur les pistes de yeti,
      comme la présence d'un gros orteil sur le côté intérieur de la piste, permettent aussi
      d'écarter l'ours. Quant à la description du yeti
      par les témoins, c'est bien celle d'un primate et non d'un
      ursidé !
    • On a également suggéré que le yeti
      pouvait être un singe comme le semnopithèque ou le
      langur, mais les traces de pas longues et étroites de ces
      derniers, entre autres, s'inscrivent en faux contre cette
      hypothèse.
    • Le primatologue John Napier (1970) a pour sa part avancé
      un phénomène de fusions-cristallisations successives de
      la neige, conduisant à agrandir artificiellement les
      empreintes. Mais ce phénomène ne peut pas
      être invoqué dans tous les cas (ainsi, MacNeely et ses
      collègues observèrent la piste au réveil, en
      sortant de leur tente : elle venait d'être faite dans la nuit),
      et de toute manière, si les empreintes peuvent ainsi
      s'agrandir, la distance entre deux empreintes successives reste
      constante.
    maintenant sur le brontosaure.
    http://fr.wikipedia.org/wiki/Mokele-mbembe

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